Pour son premier album, le jeune Diogo Strausz frappe fort. Très fort. D’aucun pourrait même lui reprocher d’en faire trop et de frimer dans l’étalage de tout son savoir-faire. De composer son album comme un book de fin d’études destiné à montrer qu’on a eu des bonnes notes dans toutes les matières. À vingt-cinq ans, … Lire la suite
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